2018

Lorsque j’exulte comme lorsque je dépéris, je me réfugie dans l’écriture pour nommer mon trouble, juguler l’émotion, exprimer l’inexprimable. J’écris alors par nécessité. J’écris parce que c’est essentiel pour ma santé et mon frêle équilibre psychologique.

Après avoir tâté des études en génie et en administration qui n’étanchèrent pas ma quête de sens, je me suis épanoui en complétant une mineure en création littéraire en 1988 à l’Université Laval.

Depuis, je survis grâce à ma plume.